Ce n'est pas le but !

Les forces de l'ordre font leur possible pour n'envoyer les alertes SMS qu'aux agriculteurs concernés, en fonction de leur localisation géographique et de l'activité de leur exploitation. Cela dépend également des faits pour lesquels il y a une mise en garde par SMS.

Par ailleurs, lors de l'inscription, les agriculteurs ont le choix de recevoir ou non les éventuelles alertes envoyées la nuit.

Non.

Les informations fournies dans ce dispositif ne sont gérées que par votre Chambre d'agriculture et par la Gendarmerie ou la Police. Les adresses email et numéro de téléphones ne sont ni revendus ni loués à des tiers.

 

Les frais sont pris en charge par la Chambre d'Agriculture de la Somme.

Non.

Pour toute communication avec la Gendarmerie ou la Police, il faut impérativement faire le 17.

Bien que ce soit techniquement faisable, ce n'est pas adapté.

Il est plus efficace que les signalements soient centralisés dans un dispositif apte à traiter ce genre de problématique. En particulier, la communication vocale permet d'éviter les malentendus et de lever les abiguitées au moyen de questions.
La communication par SMS compliquerai les échanges et ne semble pas adaptée au signalement d'un fait délictueux.

 

Vous pouvez demander à recevoir les alertes en copie par email.

C'est en particulier utile si vous vous trouvez souvent dans une zone disposant d'une couverture wifi, alors que le GSM ne passe pas, comme dans un batiment. Bien entendu, la portée du wifi reste locale.